Bonjour Lyon ! A la découverte de la ville des lumières…
Bonjour Lyon ! A la découverte de la ville des lumières…
Lyon, commune française située dans le quart sud-est de la France au confluent du Rhône et de la Saône communément appelé « La ville des lumières », est la troisième plus grande commune de France. C’est une ville vivante et très dynamique avec plus de 2 millions d’habitants dans toute l’agglomération.
© Rives de Saône – shutterstock_114141880 – Martin M303
Pour en savoir plus sur cette ville unique aux multiples monuments, nous vous faisons faire un tour dans les différents lieux culturels que l’on retrouve dans notre livre Bonjour Lyon !.
LA BASILIQUE NOTRE-DAME DE FOURVIÈRE
Elle est située sur la colline de Fourvière, et domine l’ensemble de la ville depuis la fin du XIXe siècle.
Son architecture de style néo-byzantine est l’œuvre de Pierre Bossan, et par la particularité de cette architecture, l’édifice lui vaut de nombreux admirateurs, mais aussi de très vives critiques. La basilique constitue un des repères les plus visibles de l’agglomération, et un des symboles de la ville de Lyon. L’abside est couronnée d’une statue de l’archange Michel sculptée par Paul-Émile Millefaut (1848-1907), qui est définitivement réalisée par les ateliers Gayet-Gauthier, qui ont également coulé la Statue de la Liberté.
L’édifice est inscrit à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques le 26 septembre 1977 ; puis il est reconnu d’utilité publique le 15 octobre 1998, juste avant son inscription au patrimoine mondial le 5 décembre de la même année, au titre du Site historique de Lyon. Enfin, le 25 mars 2014, il est classé monument historique de France.
La basilique de Fourvière, un monument historique de Lyon ©ventdusud
LES TRABOULES
La ville de Lyon est également connue pour ses traboules, passages piétons entre plusieurs immeubles. Il en existe beaucoup dans le Vieux Lyon, situés dans des bâtiments anciens typiques de l’architecture locale. Il y en a plus de 300 dans le Vieux Lyon, or, 95% de ces traboules traversantes sont désormais closes par les propriétaires, pour se protéger.
La Longue traboule est la plus connue du Vieux Lyon. Elle relie la rue Saint-Jean à la rue du Bœuf à travers 3 cours et 4 corps d’immeubles.
La traboule de la cour des Voraces, entre la place Colbert et la rue Imbert-Colomès, est à la fois traboule, cour et escalier. À ne rater sous aucun prétexte, autant pour son histoire que pour sa spectacularité, 6 étages et autant de volées de marches vous contemplent.
Les traboules- @matagrin – @claire__paris (Instagram)
LE MUSÉE MINIATURE ET CINÉMA
Le musée Miniature et Cinéma, anciennement musée des miniatures et décors de cinéma, est un musée privé fondé en 2005 par l’artiste miniaturiste Dan Ohlmann. Le musée abrite deux collections permanentes : une collection consacrée à l’art de la miniature et une autre aux techniques d’effets spéciaux utilisés dans les tournages de cinéma.
Idéalement situé en plein coeur du « Vieux-Lyon », le musée a élu domicile dans la célèbre « Maison des Avocats », bâtisse datant du XVIème siècle classée au Patrimoine Mondial de l’UNESCO.
Le msué © : DR – Le miniaturiste Dan Ohlmann est épaulé par Gisela Oeri, mécène Suisse.
LES GUIGNOLS
Guignol est une marionnette française créée à Lyon vers 1808 par Laurent Mourguet. En 1797, Laurent Mourguet devient arracheur de dents après avoir perdu son emploi, et s’entoure de quelques marionnettes à gaine italienne, les burattini, grâce auxquelles il rassure et distrait ses patients. Le dentiste improvisé, aidé de ses filles, interprète le répertoire italien traditionnel, mais s’autorise très régulièrement des spectacles d’improvisation.
Guignol apparaît, selon la tradition, en 1808. Son apparence serait un autoportrait de Laurent Mourguet et il s’exprimerait sur l’actualité et la vie quotidienne lyonnaises.
Accompagné de Gnafron, un savetier joyeux buveur de Beaujolais, et de sa femme, Madelon, Guignol vit des aventures présentées dans un petit théâtre. Les décors du castelet sont des lieux typiques de la ville de Lyon comme le café du Soleil sur la place de la Trinité dans le quartier Saint Georges. Dès sa naissance, ce spectacle destiné aux adultes connaît un franc succès, Guignol devient l’emblème de la ville de Lyon et des Lyonnais. Ce succès ne se démentira jamais. Aujourd’hui encore, il tient une place privilégiée dans le cœur des Lyonnais.
Le fameux Guignol ©Ben Kerckx / Pixabay
LUGDUNUM
Lugdunum, anciennement musée gallo-romain de Fourvière et musée de la Civilisation romaine, est un musée archéologique situé à Lyon. Il comprend un espace muséal couvert et depuis novembre 2017 les théâtres romains sur la colline de Fourvière. Il est géré par la Métropole de Lyon. Unique pour son site archéologique exceptionnel, la richesse de ses collections et son architecture audacieuse, le musée propose, grâce à un étonnant parcours souterrain, un véritable voyage à travers le temps. Le musée a été conçu par le célèbre architecte Bernard Zehrfuss pour accueillir de magnifiques mosaïques, sculptures, bijoux, céramiques et aussi un énigmatique calendrier celtique et la fameuse table en bronze du discours de Claude. L’ensemble bénéficie du label “Patrimoine du XX° siècle”. Expositions, activités culturelles et parcours ludiques sont proposés aux publics tout au long de l’année.
Site de Lugdunum © Michel Denancé
SAÔNE ET RHÔNE
Lyon a la particularité d’être serpenté par deux cours d’eau : Le Rhône et la Saône. Le Rhône prend sa source à 2 209 mètres d’altitude dans le glacier du Rhône dans les Alpes Suisses. La Saône prend sa source à Vioménil dans les pré-Vosges à 405 m d’altitude. La rivière conflue avec le Rhône 473,3 km plus loin. Le confluent à l’origine se situait au pied de la colline de la Croix Rousse, au niveau de l’actuelle place des Terreaux. Le confluent prenait la forme d’un marécage. En face du confluent, l’île de Moignat. En 1760, l’ingénieur Michel Antoine Perrache propose d’assécher les marécages et de repousser le nouveau confluent du quartier d’Ainay derrière la Basilique au niveau de la Mulatière soit quelques kilomètres plus bas. Aujourd’hui des projets municipaux tendent à redonner sa place à l’eau dans la ville.
Saône se lie au Rhône Septembre 2017 © Tous droits réservés Sonia-Fatima Chaoui
LE MUSÉE DES CONFLUENCES
Le musée des Confluences est un musée d’histoire naturelle, d’anthropologie, des sociétés et des civilisations situé à Lyon. Il est ouvert en 2014 et hébergé dans un bâtiment de style déconstructiviste dans le quartier de La Confluence, sur la pointe sud de la Presqu’île de Lyon, au confluent du Rhône et de la Saône. Le parcours permanent raconte le grand récit de l’humanité en quatre chapitres fondés sur des interrogations universelles.
Les cinq salles dédiées aux expositions temporaires permettent, d’une part, de décliner le projet culturel par des thèmes de société, d’autre part de faire découvrir les riches collections historiques du musée. Les collections, riches de plus de 2,2 millions d’objets ou spécimens, sont aujourd’hui conservées dans les réserves réparties entre le socle du bâtiment et le Centre de conservation et d’étude des collections.
Le musée des Confluences © Maxime Brochier
LA PLACE BELLECOUR
La place Bellecour est la plus grande place de la ville de Lyon (62 000 m2) et la cinquième plus grande place de France et la plus grande place piétonnière d’Europe. En son centre se trouve une statue équestre de Louis XIV. Une autre statue, représentant Le Petit Prince et Antoine de Saint-Exupéry, est située à l’extrémité sud-ouest de la place. On y trouve aussi deux pavillons y abritent des services de l’office du tourisme, un petit parc pour enfants, une fontaine et deux brasseries.
En 1845, avec l’expansion du chemin de fer et des transports, une partie du conseil municipal propose la création d’une immense gare ferroviaire sur la place Bellecour. Bien trop amoureux de leur place, les Lyonnais crient leur mécontentement face au projet. C’est le maire lui-même qui s’opposera à l’idée et choisira finalement Perrache comme emplacement pour la nouvelle gare.
Place Bellecour © Shutterstock
LE MUSÉE DES BEAUX-ARTS
Le musée des Beaux-Arts de Lyon est situé en plein cœur du centre-ville historique, dans les bâtiments d’une ancienne abbaye royale du 17ème siècle : l’abbaye des Dames de Saint-Pierre.
Avant d’être un musée des Beaux-Arts généraliste, le musée des Beaux-Arts de Lyon a notamment été un lieu d’apprentissage pour les dessinateurs employés par la Fabrique lyonnaise. Ouvert au public depuis 1803 et entièrement rénové en 1998, le musée des Beaux-Arts de Lyon propose l’une des plus importantes collections d’œuvres d’art d’Europe.
Cinq départements et 70 salles répartis sur plus de 7.000 m² forment un véritable musée d’art qui illustre tous les grands domaines de l’histoire de l’art.
Le musée des Beaux-Arts © Corentin Mossière
LE PART-DIEU
La Part-Dieu est un quartier situé dans le 3e arrondissement de la ville de Lyon. Conçu initialement comme une alternative au centre-ville ancien, ce quartier est devenu alors le premier quartier d’affaires de France hors Île-de-France.
Depuis près de 10 ans et jusqu’en 2030, la Part-Dieu vit sa dernière révolution pour en faire le cœur de la Métropole lyonnaise. Plus de 2000 nouveaux logements sont créés, le centre commercial est repensé pour devenir un lieux de divertissement, la gare est agrandie et modernisée pour devenir l’un des plus grands pôles d’échanges français, de nouveaux sens de circulation sont mis en place en supprimant les trémies et les grands axes routiers et laissant la part belle aux modes doux (piéton, vélo,…) et enfin de nouvelles tours de bureaux sont construites mais repensées avec des pas de porte consacrés aux commerces et services aux habitants, pour un quartier au dynamisme affirmé mais à la qualité de vie retrouvée.
Les tours de la Part-Dieu vues depuis Fourvière © Vincent Montcuit
LA CATHÉDRALE SAINT-JEAN
Située au cœur du Vieux-Lyon, la Cathédrale Saint-Jean, est un édifice mélangeant les styles gothiques et roman. Sa construction s’étend sur trois siècles, de 1175 à 1481.
L’une des particularités de l’édifice est de posséder une horloge astronomique. Réalisée à la du fin 16ème siècle, celle-ci indique la date, les positions de la lune, du soleil et de la Terre, ainsi que celle des étoiles au-dessus de Lyon. La cathédrale Saint-Jean présente également des vitraux remarquables datant du début du 12e siècle. La rosace centrale de la façade est particulièrement admirable.
Saint-Jean © Shutterstock
LES BOUCHONS
Symbole indissociable de la gastronomie lyonnaise, le Bouchon Lyonnais a été créé sur la base des traditions du mâchon lyonnais. À l’origine, ces « mâchons » désignaient le repas matinal pris vers 9 ou 10 h, composé notamment de charcuterie, de vins et de tripes, que partageaient les canuts, les fameux ouvriers de la soie. Avant que les Bouchons ne deviennent populaires, ces en-cas n’étaient pas considérés comme des repas à proprement parler.
L’association Bouchons Lyonnais regroupe des restaurateurs et autres professionnels de la table qui s’engagent à perpétuer la tradition et l’authenticité du bouchon.
Lyon compte plus de 300 Bouchons.
Le bouchon lyonnais « À la Traboule » © iStock / diignat
LA PLACE DES TERREAUX
La place des Terreaux est une place située dans le 1er arrondissement de Lyon, à l’extrême nord de la Presqu’île, au pied de la colline de la Croix-Rousse.
L’origine communément admise est que le nom « Terreaux » vient du latin « Terralia » signifiant fossé et qu’un fossé s’est trouvé ici jusqu’au XVIe siècle. Une autre origine parle de la terre ayant servi à creuser ces fossés et c’est cette butte qui serait restée dans les mémoires.
Au centre de la place, face à l’hôtel de ville, est inaugurée le 22 septembre 1892 une fontaine allégorique de la Garonne réalisée par Bartholdi. Elle est bordée par deux monuments emblématiques de la ville, l’hôtel de ville sur le flanc est et le musée des Beaux-Arts sur le flanc sud.
Place des Terreaux © Muriel Chaulet
LA CROIX ROUSSE
La Croix-Rousse est une colline de la ville de Lyon, et le nom du quartier qui s’y trouve. 30 000 canuts (nom donné à Lyon aux ouvriers de la soie) faisaient alors vivre le quartier et faisaient de la ville un centre majeur du textile en Europe. La Croix Rousse compte également plusieurs lieux culturels forts: le Théâtre de la Croix Rousse, la Maison des Canuts, la villa Gillet, le théâtre de Guignol, Soierie vivante ainsi que de nombreuses associations dont les animations annuelles rythment la vie de ce quartier à forte identité. De nombreux artistes y ont élu domicile sur les pentes parsemées de galeries, de boutiques de créateurs et de cafés théâtres.
Les murs peints fleurissent sur les façades, et c’est là qu’on trouve quelques-uns des plus beaux spécimens de la ville !
Les pentes de la Croix-Rousse depuis Fourvière © Jacmin
L’HÔTEL-DIEU
L’Hôtel-Dieu de Lyon est l’un des plus grands bâtiments de la presqu’île de Lyon. Il est construit en bordure ouest du Rhône, dans le quartier de Bellecour. Classé aux Monuments Historiques en novembre 2011, l’ancien hôpital fut édifié au bord du Rhône en 1184 par les frères Pontife et appelé l’hôpital « du Pont du Rhône », « Hôtel-Dieu de Notre-Dame de Piété du Pont du Rhône » après agrandissement en 1493. L’hôpital de l’Hôtel-Dieu, le musée des Hospices Civils et la chapelle ont fermé fin 2010. Après des travaux importants, l’édifice sort de sa chrysalide en 2018 après une métamorphose hors norme ayant duré de longs mois, offrant à celui-ci l’installation de nouvelles enseignes et d’un hôtel de luxe..
L’Hôtel-Dieu @ Eric Cuvillier
LES MURS PEINTS
Les murs peints de Lyon sont connus pour leur nombre, leur diversité et leur beauté. Créés en grande partie par la coopérative CitéCréation, ils font désormais partie du patrimoine de la ville. Quatre sont en bord de Saône, dont l’immense mur des Lyonnais. Un autre, végétal, et un escalier peint sur les pentes. Au détour d’une rue, d’une place, que ce soit dans le centre-ville ou en périphérie, ce sont plus d’une centaine de fresques qui recouvrent les murs de Lyon et retracent ainsi son histoire.
C’est une immense galerie à ciel ouvert où l’on découvre un patrimoine d’esthétisme et de pédagogie.
Le mur des Canuts @ Davide Mauro
LES CANUTS
Les canuts, étaient les ouvriers tisserands de la soie sur les machines à tisser.
Ils se trouvaient principalement dans le quartier de la Croix-Rousse à Lyon (France) au XIXe siècle.
Les canuts se nomment eux-mêmes « ouvriers de la fabrique ». Au sein de la fabrique, ces hommes ou ces femmes sont parmi les plus considérés des ouvriers.
Ils se trouvaient principalement dans le quartier de la Croix-Rousse à Lyon au XIXe siècle.
Les canuts, étant soumis à de rudes conditions de travail (ils travaillaient dix-huit heures par jour), se révoltent à de nombreuses reprises. Leur première révolte, en novembre 1831, est considérée comme l’une des premières révoltes ouvrières.
Intérieur d’un atelier de Canut © Musée Gadagne – Lyon
L’OPÉRA ET L’HÔTEL DE VILLE
L’opéra de Lyon, anciennement Grand Théâtre, est une salle d’opéra de la ville de Lyon, situé place de la Comédie, en face de l’hôtel de ville qui un des plus imposants bâtiments historiques de la ville.
Une des plus belles réussites de l’architecture théâtrale de la seconde moitié du XXe siècle, reconstruit en 1993 par Jean Nouvel, l’Opéra de Lyon fait aujourd’hui partie du patrimoine international.
L’opéra de lyon situé en face de l’Hôtel de ville © Stofleth
LA VILLE DES LUMIÈRES
En 1852, lors de la restauration de l’église qui surplombe Fourvière, une statue de la Vierge Marie est commandée pour le 8 septembre, jour de la Nativité de Marie. Malheureusement la météo ne fût pas de mise et la Saône finira en crue quelques jours avant, inondant ainsi l’atelier du sculpteur Fabisch, en charge de la statue de Marie. La date est alors reportée au 8 décembre, autre jour de fête de la Vierge, celle de l’Immaculée Conception. L’attente était telle que spontanément les Lyonnais ont illuminé leurs balcons et façades de petites bougies, appelées lumignons. Depuis, cette tradition est perpétuée et illumine la ville de Lyon tous les 8 décembre. Aujourd’hui la fête des Lumières de Lyon est mondialement connue et accueille chaque année plus de 4 millions de visiteurs.
La villes des lumières © Ned
LE PARC DE LA TÊTE D’OR
Le parc de la Tête d’Or est l’un des plus grands parcs urbains de France. Situé sur les bords du Rhône, il offre 105 hectares de vastes pelouses, arbres centenaires, massifs fleuris, parterres de roses ou de pivoines, apportant en toutes saisons des touches colorées et parfumées.
Véritable patrimoine culturel vivant, il est le seul parc européen disposant d’un lieu de détente et de loisirs, d’un jardin botanique et zoologique, d’une roseraie qui soient entièrement gratuits.
Conçu par les frères Bühler et aménagé en 1856-1858, il accueille chaque année plus de 8 millions de visiteurs. Il fait l’objet depuis toujours, et encore plus aujourd’hui, d’une attention toute particulière afin de préserver ce patrimoine exceptionnel et très fortement fréquenté.
Parc de la Tête d’Or © jasckal – stock.adobe.com
LES FRÈRES LUMIÈRE
Nés à Besançon, Louis et Auguste Lumière déménagent à Lyon en 1871 et inaugurent leurs premières inventions : plus de 170 brevets étaient alors à leur nom dans le domaine de la photographie et de la cinématographie. Créateurs du cinématographe en 1895, ils utilisent leur invention révolutionnaire pour immortaliser les plus belles vues lyonnaises, créant ainsi un corpus de petits films inscrits dans le Registre du Monde de l’UNESCO.
L’Institut Lumière fut créé en 1982 dans le château « art nouveau / art déco » construit entre 1899 et 1901 où la famille Lumière a vécu. On y retrouve : des projections de films Lumière commentés, premières caméras, photographies en couleur et en relief, objets insolites et autres inventions.
Une salle de cinéma « Le Hangar » a été installée dans le jardin. C’est là que fut réalisé le premier film. C’était à l’époque la plus grande usine d’Europe de fabrication de plaques photographiques.
La Villa Lumière à Lyon © Matt Neale from UK
GERLAND
Gerland est un quartier de Lyon, situé le long du Rhône, dans le sud-est de la ville, dans le 7e arrondissement. Le quartier de Gerland s’étend sur 700 hectares, il est connu pour son stade et son pôle scientifique de renommée mondiale, Gerland est le second quartier d’affaires de la ville et en plein développement. Par la suite, le stade de Gerland a permis de donner vie au quartier notamment grâce à l’Olympique Lyonnais qui a aujourd’hui déménagé au stade des Lumières.
Vue de Lyon – Au premier plan, Gerland © Métropole de Lyon Thierry Fournier
LA CITÉ INTERNATIONALE
La Cité internationale est un quartier récent de la ville de Lyon. Il est situé entre une boucle du Rhône et le parc de la Tête d’or.
La Cité Internationale a été réalisée de 1992 à 1999 par l’architecte Renzo Piano et le paysagiste Michel Corajoud. Ce qu’on appelle Cité Internationale fait référence à un pôle tertiaire, culturel et touristique étant donné qu’il regroupe de nombreux bureaux, le Centre de Congrès, le Musée d’Art Contemporain, un cinéma, un casino ou encore des hôtels et restaurants. On retrouve également des pavillons d’habitations réunissant 500 appartements.
Lyon – Cite Internationale
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